Mais quel acharnement y a t il contre l’ANAA et son président ? AUCUN…
On lit à droite et à gauche, sur certains forums en particulier, tout un tas d’absurdités, et les juristes eux même n’ont pas toujours un langage très accessible aux profanes.
Alors de quoi s’agit-il, et qu’est-il demandé ?
Des éclaircissements sur certaines lignes très obscures de la comptabilité de l’ANAA et sur le bail de Sames Valorisation, c’est tout…
Malheureusement son président a toujours refusé de répondre, sauf pour la première fois l’autre jour à l’administrateur judiciaire de Sames valorisation.
Alors quand un président d’une association, qui ne vit principalement que de subventions de l’État, ou de fonds Éperon qui sont des prélèvements sur le Pari Mutuel, refuse de répondre aux questions légitimes qu’on lui pose, on est bel et bien obligé de s’adresser à la Justice, dont l’avance des frais est faite par les éleveurs requérants, contrairement à ceux du président de l’ANAA qui sont assumés par l’association elle-même !
Si un deuxième administrateur judiciaire est nommé pour l’ANAA, le premier l’ayant déjà été pour Sames Valorisation, Il n’y aura pas, comme on peut le lire sur certains commentaires fantaisistes, de recours devant la Cour de Cassation, l’argent étant distribué par l’intermédiaire de l’État, et l’État ayant une obligation de contrôle !
Si le fonctionnement de l’ANAA est gêné par ces procédures judiciaires, et que les éleveurs en pâtissent, il appartient à son seul Conseil d’Administration de demander à son président de prendre congé de la présidence, au moins tant que ces procédures ne sont pas réglées, mais pas aux requérants.
Quant aux ambitions personnelles de Pierre Ader ou de Jacques Grandchamp des Raux (qui n’est pas membre de l’ANAA), envisagées le 1er juillet au Tribunal Correctionnel de Bordeaux par la défense d’Etienne Robert, rédacteur en chef du journal « le Cheval », il est parfaitement clair que ni l’un, ni l’autre n’ont la moindre intention d'être candidat à la présidence de cette association !
