Bernachot et James, les plus gros « mentors » de la filière équine…
Si Bernachot n’est plus à présenter, Alain James, fonctionnaire de l’IFCE ex Haras Nationaux, est associé au président de l’ANAA dans l’organisation aussi dramatique que scandaleuse des ventes d’anglo-arabes de Pompadour.
Même si les deux compères ont eu le culot de faire croire, à grands renforts de communication, tant à l’ANAA qu’à l’IFCE qu’ils avaient « repris en main les ventes de la Grande Semaine de Pompadour, que quelques 60 sujets d’exception participeraient aux ventes aux enchères à partir de 20h dans un chapiteau chauffé de 1600m2, que les concurrents des Finales de Concours Complet d’Equitation semblaient avoir adopté les soirées des ventes, comme spectacle d’abord (les tribunes étant toujours pleines) mais aussi comme moyens de commerce moderne (les 2/3 des acheteurs sont des professionnels), qu’ils avaient pour la plupart déjà acheté ou fait acheter à cette occasion et sorti en compétition des sujets issus des ventes », ils ont tous les deux complètement échoués, et ce pour la deuxième année consécutive !
Et pourtant la cause n’est surement pas due à un manque d’argent, l’État et les fonds Eperon ayant ingurgité des sommes astronomiques dans l’organisation de ces ventes sabordées.
Quand on pense, que les éleveurs qui sont des contribuables comme tout un chacun, payent depuis de nombreuses années , par le biais de leurs impôts ou de subventions qu’ils ne touchent pas, des déplacements fort couteux dans le monde entier (tous les pays d'Amérique du Sud, les USA, la Chine, la Russie, les pays arabes, l'Europe) à ce fonctionnaire peu scrupuleux, Alain James, pour aller démarcher des clients étrangers inexistants, ça fait froid dans le dos !
Les résultats ne se sont pas faits attendre, le lot de chevaux était de piètre qualité, les clients absents au rendez vous, et pour cause.
Quand on pense qu’à la Grande semaine de Fontainebleau, le dimanche du critérium des 5 et 6 ans, à 11h du matin, devant plusieurs milliers d’éleveurs et propriétaires, le stand de l’ANAA a plié bagages, sous prétexte qu’il était temps de rentrer à la maison !
Bien sûr, les deux compères, Bernachot et James, n’ont ni l’un à l’ANAA, ni l’autre à l’IFCE communiqué sur les piètres résultats de ces ventes !
Heureusement, une poignée d’éleveurs scandalisés, ont lancé des plaintes pénales contre l’ANAA et Sames Valorisation ; ces plaintes sont actuellement en cours d’instruction, et révèleront vraisemblablement des gestions scandaleuses avec tout ce que cela implique !
Se rapprocherait-on d’une « affaire d’État » ? Rien ne s’y oppose !