Bruno MELLET, maintenant ça suffit…
Quand on est directeur d’une association reconnue d’utilité publique, donc qu’on est une autorité publique, on se doit non seulement une obligation de réserve, mais également une attitude impartiale, et on ne colporte pas tout et n’importe quoi, notamment dans l’affaire Canicas.
En effet son jugement ne sera rendu qu’à mi mars et jusqu’à cette date il bénéficie selon la loi française de la présomption d’innocence, comme Bernachot du reste qui est également devant la justice…
Bruno Mellet serait bien inspiré de lire la fable de la Fontaine, « le rat et l’huitre » qui conclut « que tel est pris qui croyait prendre ».
A moins qu’il redoute de se voir dans le personnage du rat !