Les Journées du Selle-Français, dignes d’un élevage de qualité, sont enfin arrivées, et n’était ce pas urgent ? BRAVO au président de l’ANSF et à toute son équipe de salariés et bénévoles !

 
Bien sûr les jaloux, les aigris, les incapables aboieront face aux investissements, face au titre de champion des étalons de 3 ans décerné à un fils de Clinton (Holst) et une fille de Carnute (SF), « Tobago Chevrier » né et élevé dans un des plus anciens élevages berrichons, les mêmes qui ont vanté le triomphe de « Diarado Holst » un fils de Diamant de Semilly (SF) et une fille de Corrado I (Holst) à la Körung du Holstein en 2007, qui se mirent dans les ventes aux enchères de Pompadour financées à 100% par les fonds Éperon et l’IFCE pour ne vendre qu’à peine 40% de chevaux à des prix bradés (à l’exception de l’enchère surréaliste de l’IFCE à 24.000 €), qui soutiennent l’épandage des banderoles publicitaires du stud-book Z, installées par la SHF, sur le terrain d’honneur du grand parquet à Fontainebleau, alors que la réciproque est impossible à Lanaken.
 
N’est ce pas aux éleveurs de selle français, et pas à ces troublions de 3ème zone, de gérer leur race comme ils l’entendent avec un Conseil d'Administration élu de manière parfaitement démocratique ?
Le Selle Français, la dynamique de son association, sa réussite sportive incontestée en fait aujourd’hui une des premières races de chevaux de sport au monde, c’est le poids lourd de l’élevage Français.
Toute la France devrait applaudir à 2 mains.
Mais dans la réalité cette réussite fait peur, et  ne peut être combattue que par les tenants d’un conservatisme dépassé.
Une Association de race qui ne peut plus investir dans des actions au profit de l’élevage n’a plus sa place, et ne peut que faire faillite, et entrainer sa race à la disparition (voir l’ANAA et les anglo-arabes) ! 
Si la très grande majorité des participants s’accorde pour dire que l’organisation des journées du selle-français 2010 était remarquable, cela ne veut pas dire que tout était parfait, et qu’il n’y a pas de points à modifier, dont peut être :
1.      Trop de candidats à observer qui n’ont rien à faire à ces finales ne présentant pas les qualités nécessaires qu’on recherche pour ce type de produit et provoquent ainsi lassitude et indigestion.
2.      Quatre jours complets pour voir les 2 et 3 ans, et même si le selle français est une race d’exception, c’est trop, et ça décourage de venir ; trois jours seraient nettement plus engageant !
 
Mais il est à craindre que très vite les journées du selle-français deviendront victimes de leur succès, et que même en faisant payer l’entrée, les guichets seront fermés bien avant l’ouverture !
 
En tous cas, BRAVO au président de l’ANSF et à toute son équipe de salariés et bénévoles, et BRAVO à l’indépendance du corps des juges.
 
Vive l’ANSF…
 
 
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