Mais dans quelle poche va l’argent des Fonds EPERON et de l’IFCE ?
Tout le monde s’accordera pour dire qu’on ne peut comparer que ce qui est comparable.
Or les ventes de Pompadour organisées par l’ANAA et l’IFCE grâce à l’aide très importante des fonds EPERON, et les ventes de Bordeaux organisées par la FEDECSA sans la moindre subvention, ont en commun :
1. Le même nombre de chevaux présentés
2. Les mêmes générations de chevaux présentés
3. Le même nombre de chevaux vendus
Ce qui les différencie :
1. Le prix moyen de chaque cheval vendu qui est plus du double pour ceux vendus par la FEDECSA par rapport à ceux vendus par l’ANAA.
2. Le chiffre d’affaire total des chevaux vendus par la FEDECSA qui est plus du double de celui de l’ANAA.
Et pourtant, l’ANAA bénéficiait d’un support commercial non négligeable en la personne d’Alain James, cadre supérieur de l’IFCE, qui durant de nombreuses années a été le « commercial » à l’étranger de cette institution, parcourant à nos frais, et d’année en année, le monde entier.
Il ne semble pas avoir ramené le moindre client de l’étranger ou de métropole, si ce n’est l’IFCE qui a acheté le cheval de leur « ami » Pierre de la Serve, TOUMIM d’OLYMPE, titulaire d’un seul parcours sans faute sur cinq à 4 ans dans les épreuves de qualification et de 260 € de gains, « Top Price » de la vente à 18.000 € !
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